Communes membres
LA COMMUNAUTÉ
DE COMMUNE
Les Rives de l'Ain
PAYS DU CERDON
La communauté de communes Rives de l’Ain – Pays du Cerdon est une structure intercommunale française située dans le département de l’Ain et regroupant 14 communes.
Elle est née de la fusion des deux anciennes communautés de communes Bugey-Vallée de l’Ain et Pont-d’Ain, Priay, Varambon. Son siège est à Jujurieux
LES COMMUNES
DES RIVES DE L'AIN
SERRIÈRES-SUR-AIN
Descriptif
Serrières-sur-Ain
Située au centre du département de l’Ain, dans le Haut Bugey, la commune marque la limite sud-ouest du canton d’Izernore. Elle est entourée par les communes de Bolozon, Leyssard, Challes-la-Montagne, Poncin et Hautecourt-Romanèche.
Le territoire sur lequel se trouve la commune semble habité depuis la préhistoire. Des fouilles archéologiques ont démontré la présence d’abris préhistoriques dans certaines grottes (grotte au nord de Serrière dite « Sous la Pierre », grotte de la Fée aujourd’hui enfouie à cause de la création du barrage d’Allement).
En 1420, Amédée VIII de Savoie inféode Serrières-sur-Ain à François de Mornay et délivre une autorisation d’y faire construire une maison forte. Cette seigneurie fut ensuite transmise à la famille d’Oyonnax. La Révolution fut fatale à la maison forte qui fut démolie. Aujourd’hui on peut toujours observer les murs de sa base.
Appartenant au massif du Jura, son territoire très accidenté est vallonné par les Monts Berthiand. Le dénivelé de la commune est important, entre l’altitude mesurée au bord de l’Ain (233 mètres) et celle du lieudit « Sur les Roches » (571 mètres). On compte trois hameaux à Serrières-sur-Ain : Merpuis au sud, Sonthonnax-le-Vignoble au nord-est sur le flanc du Berthiand, et Malaval au centre-est.
Posé à 45 mètres au-dessus de la rivière, le pont de Serrières-sur-Ain traversant la rivière d’Ain a été construit à la place d’un pont suspendu qui existait auparavant. D’une longueur de 225 mètres, c’est un pont constitué d’un seul arc d’une portée de 124 mètres.
Mardi : 15h00 – 18h00
Jeudi : 9h00 – 12h00
PONCIN
Descriptif
Poncin
Écoles :
- Adresse : Aux Terres d’Ain – 01450 PONCIN
- Maternelle : 04 74 37 23 58
- Élémentaire 04 74 37 23 35
Service d’eau/assainissement :
- Lyonnaise des Eaux : 0810 396 396
Riche en vestiges médiévaux, encore bien visibles, Poncin se distingue par ses maisons sur arcades, ses éléments de remparts et l’imposante tour carrée de son château. Dans son église (de style Viollet-le-Duc) trône un monument historique et joyau patrimonial : une Vierge en majesté datant du milieu du XIIIe siècle.
Si les racines de Poncin remontent jusqu’à la Préhistoire, les temps glorieux de la cité datent des XIIIe et XIVe siècles, à l’époque où les Thoire-et-Villars font du site leur place-forte et leur capitale. En 1601, à l’heure où le fief passe entre les mains de la lointaine Maison de Savoie, Henri IV fait raser son orgueilleux château : il sera heureusement reconstruit au XVIIe siècle et enrichi de jardins à la française en terrasse aujourd’hui classés.
Village authentique et plein de charme, à l’image de sa place centrale, Poncin dispose en outre de nombreux services. Au village, vous pourrez notamment vous ravitailler en produits du terroir à la fruitière à comté et dans l’un des caveaux élaborant le vin pétillant du Bugey-Cerdon.
Du passage voûté qui jouxte la Tour Bouvent, de style Renaissance, on arrive sur la place avant de gagner la rue Xavier Bichat, célèbre médecin du début du XIXe siècle dont la maison familiale peut être observée depuis la rue.
Poncin est aussi la porte naturelle des Gorges de l’Ain, en direction de Thoirette (à moins de 30 km) et du Jura. Avec ses nombreux sentiers balisés conduisant dans des hameaux typiques du village, en haut de falaises à points de vue ou au milieu de coteaux viticoles, c’est un terrain privilégié pour les amateurs de nature et de randonnées.
À voir : Château de Poncin (1717) – Château et chapelle de la Cueille – Chapelle de Leymiat – Maisons à arcades – Maison Bichat – Vestiges de voûtes et de remparts médiévaux avec deux dernières meurtrières au centre du bourg – Vestiges des remparts médiévaux de la cité avenue du Parc – Tour Bouvent octogonale, époque Renaissance, classée.
À faire : Randonnées pédestres et VTT – Pêche – Balades à cheval centre équestre – Caveaux viticoles – Fruitière à Comté.
Pratique : Hébergement – Restauration – Tous services.
Lundi au Vendredi de 9h00 à 12h00
Samedi : 9h00 – 11h00
NEUVILLE-SUR-AIN
Descriptif
Neuville-sur-Ain
Village de caractère aux nombreux châteaux, Neuville-sur-Ain s’est développée autour de deux rivières qui lui assurent aujourd’hui encore un charme bien particulier : l’Ain et le Suran.
Avec ses maisons aux façades pittoresques surplombant la rivière, son ancien pont à 2 arches en pierre et son usine hydroélectrique située sur un barrage oblique et large du type des anciens ouvrages dits en ciseaux, Neuville-sur-Ain est indissociable de la rivière Ain. Dans le quartier du port, blotti entre les maisons classées, un moulin possédant encore sa meule de pierre perpétue la fabrication traditionnelle d’huile de noix et de noisettes.
Quant au Suran il s’écoule en abondance en faisant de nombreux méandres … et disparaît par endroit en souterrain. Rivière de 1ère catégorie, le Suran donne au village un charme particulier : admirez en vous baladant ses moulins et passages à gué, souvent dominés de ruines de châteaux. Parmi eux, le château fort de Thol en cours de restauration par des inconditionnels, bénévoles, qui ne manqueront pas de vous accueillir sur le chantier.
En longeant la Rivière d’Ain sur le sentier de la Colombière en direction de Poncin, les promeneurs pourront suivre les traces des hommes préhistoriques et découvrir successivement un rocher d’escalade très prisé, la grotte de la Colombière classée monument historique en 1936 et un four à chaux ancestral ayant été restauré.
À voir : Moulin des Bords de l’Ain – Château de Thol en cours de restauration – Château de Saint-André (XIe siècle) – Maisons classées – Chapelle d’Arthurieux (XIXe siècle) – Châteauvieux (XVIIIe/XIXe siècle) – Château de Fromente (1225).
À faire : Randonnées pédestres – Pêche – Escalade.
Pratique : Restauration – Hébergement – Tous services.
PRINCIPALE : Place Michel Floriot 01160 Neuville-sur-Ain
ANNEXE : Place Joseph Rynois 01160 Neuville-sur-Ain
Mairie principale : Uniquement sur rendez-vous
Mairie annexe : Lundi, Mercredi, Vendredi de 8h30 à 12h00
PONT D'AIN
Descriptif
Pont d'Ain
École :
- École du Centre – 7 Rue Louise de Savoie – Tél. 04 74 39 08 83
- École du Blanchon – Rue Emile Le Breüs – Tél. 04 74 39 06 68
Service d’eau/assainissement :
- SOGEDO : 04 74 61 02 14
Située au carrefour du Bugey, du Revermont, de la Dombes et de la Bresse, la cité s’étend au bord de la rivière d’Ain, réputée pour ses ombres et ses truites. Longtemps lieu de résidence des ducs de Savoie, Pont-d’Ain est une ville chargée d’histoire, à la croisée des chemins d’hier et de demain.
De par sa position stratégique entre la Savoie et la Bresse, Pont-d’Ain a joué un rôle décisif dans le conflit Delphino-Savoyard. Son château, lieu de résidence très apprécié des comtes de Savoie, a ainsi vu naître Louise de Savoie, mère de François Ier, roi de France, et son frère Philibert le Beau, mari de Marguerite d’Autriche, qui fit construire l’Eglise de Brou.
En flânant au bord de la rivière le long du quartier du port vous pourrez suivre les berges de l’Ain jusqu’au moulin Convert. Construit à la fin du XIXe siècle, il possédait trois jeux de meules fonctionnant grâce à la force motrice du barrage. En prenant la passerelle puis en suivant la route à droite, on arrive à l’église de style roman, Notre Dame-de-l’Assomption.
Marquant l’entrée de la basse vallée de l’Ain, Pont-d’Ain a longtemps été la capitale de la pêche à l’ombre commun. Outre l’ombre commun et la truite, la rivière d’Ain abrite des poissons blancs comme le barbeau et tous types d’espèces parmi lesquels des carnassiers (brochet, carpe) particulièrement présents dans les lônes. Son cours d’eau tranquille offre également de magnifiques parcours en canoë-kayak accessibles à tous.
En empruntant le circuit du Mont Olivet culminant à 315 mètres, les randonneurs arriveront successivement à l’ancienne usine de filatures d’Oussiat, le long des brotteaux, au cœur de charmants hameaux pittoresques, jusqu’à la chapelle de la Catherinette (XIXe siècle) élevée sur le rebord du plateau dominant la ville.
À voir : Maisons du XIVe siècle sous le château – Vieilles maisons rue Louise de Savoie – Chapelle de la Catherinette – Moulin Convert et son barrage – Barrage d’Oussiat.
À faire : Randonnées pédestres – Pêche – Canoë-kayak.
Pratique : Hébergement – Restauration – Tous services.
Lundi, mercredi et jeudi : 08h00 – 12h00 / 13h30 – 16h30
Mardi et vendredi : 8h00 – 12h00
VARAMBON
Descriptif
Varambon
Située au pied de la côtière de la Dombes, cette ancienne petite ville fortifiée au Moyen-Age présente une architecture urbaine singulière (fenêtres à linteau courbe du XVIIIe siècle). Le château et l’église de Varambon sont classés au Patrimoine des Monuments Historiques.
Baignant dans les eaux limpides de la Rivière d’Ain, Le village est dominé par un élégant château. Petite ville fortifiée créée par les sires de La Palud vers l’an mille, Varambon était au XVIe siècle ceint de murailles contre lesquelles s’appuyaient, à l’intérieur, des maisons de bois et de torchis. Les amateurs de patrimoine découvriront, au fil des ruelles, de nombreux vestiges, dont des maisons remarquables par leurs fenêtres à linteau courbe du XVIIIe siècle.
L’église du XIVe siècle renferme quelques trésors dont des objets mobiliers, bancs seigneuriaux, stalles et marbres, protégés au titre des Monuments Historiques.
Au détour du chemin de la Côte, les âmes tranquilles apprécieront une halte sur la colline verdoyante de Montmeilland, à proximité de la table d’orientation, où ils pourront contempler longuement les monts du Bugey, la Plaine de l’Ain ainsi que le cours de la Rivière d’Ain.
A Varambon, on peut également apprécier le calme et la sérénité du Port dans lequel résidait jadis un batelier, en des temps où la rivière était utilisée pour le transport des marchandises. Non loin, les passionnés de nature pourront observer la lône, zone de reproduction et de croissance pour une multitude d’espèces.
À voir : Château au sommet de Montmeilland (an mille) reconstruit plusieurs fois – Vestiges de murailles (XVIe siècle) – Statue de la Vierge sur la colline (1864) avec table d’orientation et vue sur la Vallée de l’Ain – Eglise inscrite aux monuments historiques ainsi que le degré circulaire (double escalier faisant face à l’église) et la clôture du parvis ; Doyenné (1769) en face de l’église.
À faire : Randonnées pédestres – Pêche.
Pratique : Restauration.
Lundi : 14h00 – 17h00
Vendredi : 13h30 – 17h00
PRIAY
Descriptif
Priay
Situé en bordure de la Rivière d’Ain et de ses eaux limpides riches en truites et ombres, le village, labellisé « Village fleuri » 2 fleurs, est tout proche de la Dombes réputée pour ses très nombreux étangs où abondent oiseaux migrateurs et échassiers.
Que vous soyez amateurs de vieilles pierres, amoureux de la nature, pêcheurs inconditionnels, ou à la recherche de bons moments en famille, il y a en a ici pour tous les goûts.
Depuis la place centrale du village, l’itinéraire de découverte du village vous dirigera successivement au pont de Priay, à la maison « Bordet », remarquable demeure du XVIIIe siècle construite en galets extraits de la rivière d’Ain, à l’église Saint-Pierre d’origine romane (XIIIe siècle), au lavoir et au château de la Tour construit en 1749. Vous pourrez ensuite prendre un peu de hauteur pour surplomber la plaine de l’Ain et admirer les monts du Bugey depuis une table d’orientation…
Le sentier balisé « les hauts de Priay » vous mènera de hameau en hameau, à travers bois et au bord de la rivière. Au fil du chemin se dévoileront à vous l’étang privé de la Fortillière dont la terre argileuse servait autrefois à la fabrication de tuiles et briques, ou encore le château de Richemond construit au début du XIIIe siècle. Les enfants munis d’un livret jeu Zanimo’balade, pourront quant à eux suivre les aventures d’Elsa et Jonatan, les petits plongeurs de la rivière d’Ain.
Enfin, les pêcheurs seront séduits par les deux plans d’eau aménagés, à proximité de la Rivière d’Ain, accessibles entièrement en voiture : aire de pique-nique, abris et bancs pour les jours de mauvais temps…
À voir : Château de la Tour (1749) – Ancienne tuilerie Eymeriat aux Carronnières – Eglise Saint-Pierre (XIIe siècle) avec portails romans, cloches, statue de la Vierge et l’enfant (1797).
À faire : Randonnées pédestres – Pêche – Zanimo’balade de Fifrelin.
Pratique : Hébergement – Restauration – Tous services.
Mardi, Mercredi et Jeudi : 08h30 – 11h30
Samedi (sauf 1er du mois) : 08h30 – 11h30
CHALLES LA MONTAGNE
Descriptif
Challes la Montagne
Challes-la-Montagne domine de plus de 200 mètres la Vallée de l’Ain, à l’image d’une sentinelle posée sur les contreforts du Bugey. En empruntant l’un des divers sentiers du village, les randonneurs bénéficieront à coup sûr de belles vues panoramiques sur les alentours.
Les maisons typiques vigneronnes et le four banal de Challes-la-Montagne en font un village typique du Bugey, avec ses habitations restaurées sur d’anciennes exploitations agricole caractérisées par l’étable jouxtant la partie réservée aux habitants, ses séchoirs à bois ou à noix accrochés aux façades et son maïs pendu aux avant-toits.
En prenant la direction du Belvédère des Roches au départ du hameau de Sameyriat, on dispose d’un point de vue plongeant de plus de 250 mètres sur la vallée de l’Ain et l’île Chambod. D’un seul coup d’œil, le promeneur pourra apprécier l’harmonie du paysage coincé entre rivière et falaise.
Certains sites révèlent des traces d’occupation gallo-romaine, et le visiteur, quel que soit le chemin choisi, découvrira toujours avec plaisir ce plateau parsemé de prés et de cultures céréalières, véritable patchwork naturel qui entoure le village et les hameaux de Cizod et de Sameyriat.
À voir : architecture typique – Eglise Saint Pierre (XVIIe siècle) – Lavoir couvert à côté de l’église.
À faire : Randonnées pédestres.
Pratique : Hébergement – Restauration.
Mardi : 13h30 – 17h00
Mercredi : 8h30 – 12h00
SAINT-ALBAN
Descriptif
Saint-Alban
Installé sur un joli promontoire rocheux le long duquel sont accrochés les vestiges d’une église romane, Saint-Alban domine les villages de Cerdon et Poncin.
Tirant son nom de l’église de Saint-Alban aujourd’hui en ruines, le village est issu du regroupement de 5 hameaux : Bôches, Chamagnat, Coiron, le Combet et le Mortaray. Les vestiges de la « Vieille Eglise » romane (XIIe siècle) remaniée et agrandie par une chapelle latérale et un clocher porche au milieu du XVe siècle sont encore accessibles par un sentier de promenade. On peut découvrir depuis ce promontoire rocheux un superbe panorama sur la vallée du Veyron, le vignoble du Bugey – Cerdon et l’ancienne route de Cerdon.
Village typique du Bugey, Saint-Alban possède ces maisons en pierre à voûtes dites en anse de panier, maisons typiques vigneronnes composées d’une cave voûtée, d’un petit escalier en façade et d’un balcon. Chaque année en juillet les villageois se réunissent autour de son four banal entièrement restauré pour la traditionnelle fête du four et font ainsi revivre les traditions d’antan : pains, galettes, recettes culinaires, gaufres à l’ancienne… le tout arrosé du vin pétillant rosé AOC le Bugey – Cerdon.
On trouve encore à Saint-Alban une nature et des paysages authentiques qui invitent aux loisirs en tous genres : escalade sur un rocher équipé de voies adaptées à tous les niveaux sur le rocher, randonnée de quelques heures sur les sentiers balisés du village, expositions à la Combe du Lynx où se mêlent peinture, sculpture et métiers d’art.
À voir : Vieille église – Château féodal de Montanay – Château de Jean de la Balme à Mortaray (1376) – Ruines du château médiéval de Bôches (famille des Thoire).
À faire : Randonnées pédestres – Escalade – Caveaux viticoles.
Pratique : Hébergement.
Lundi et Mardi : 08h45 – 12h45
Jeudi : 13h30 – 17h30
Vendredi: 13h30 – 17h00
LABALME
Descriptif
Labalme
À Labalme, il faut prendre son bâton de promenade pour accéder au panorama offert dans le village sur la reculée du Cerdon, la plaine de l’Ain et les monts du Lyonnais ou encore pour découvrir sa superbe petite église du XVesiècle et ses vestiges archéologiques.
Les aventuriers en herbe ne manqueront pas la descente dans les Grottes du Cerdon – Parc de Loisirs Préhistoriques pour un voyage au centre de la terre digne de Jules Verne : www.grotte-cerdon.com
D’abord, le petit train touristique des Grottes vous emmènera jusqu’à l’entrée du domaine souterrain. Puis, vous suivrez le guide à pied sur un parcours surprenant et grandiose, dans un décor souterrain magnifiquement sculpté par les eaux tumultueuses des périodes glaciaires.
Les amateurs d’équitation pourront quant à eux partir avec leur monture sur l’un des nombreux chemins de promenades et évoluer à toutes les allures pendant plusieurs heures s’ils le souhaitent. A noter qu’on y pratique même l’équitation western.
À voir : Eglise du XVe siècle – Belvédères et points de vue.
À faire : Domaine des Grottes du Cerdon – Balades à cheval centre équestre.
Pratique : Hébergement – Restauration.
Lundi : 13h30 – 17h30
Mardi et Vendredi : 08h30 – 12h00
CERDON
Descriptif
Cerdon
Entouré de coteaux escarpés, Cerdon ne manque pas d’atouts pour séduire les amateurs de culture et de patrimoine. Village aux 20 fontaines niché au creux des vignes, le village s’est construit sur les bords de la rivière qui lui a donné son nom, où l’on peut encore voir de remarquables ponts en voussoir.
Avec ses rues tortueuses, ses maisons typiques d’architecture vigneronne, son four banal et sa maison du Maître Poste avec ses portes voûtées et ses fenêtres à meneaux datant du Moyen-Age, le village de Cerdon ne manque pas de cachet.
Sa cuivrerie, actuellement fermée, née il y a plus de 150 ans, témoigne d’un patrimoine industriel unique par son caractère ancestral. Sur les hauteurs du village, installée depuis 1855, Notre-Dame-de-Carmier veille sur les Cerdonnais, qui lui témoignent leur affection en grimpant un sentier rude et escarpé afin d’illuminer chaque jour sa statue.
En empruntant le sentier dédié aux Maquisards aménagé entre le village et le Mémorial du Val d’Enfer, vous pourrez rendre hommage à la mémoire des 700 morts des Maquis de l’Ain. L’ascension du Mont Châtel offrira aux plus courageux une vue aérienne sur le village tandis que le sentier des vignes vous mènera au cœur du fameux coteau de la Grand’Côte et ses magnifiques points de vue sur la vigne environnante. Enfin, le circuit des cascades vous conduira au pied de la cascade de la Fouge et vous permettra d’admirer l’ancienne chartreuse d’Epierre.
Mais Cerdon, c’est aussi et surtout le berceau d’un vignoble de renom, AOC depuis 2009 : le Bugey – Cerdon. En poussant la porte de l’un des nombreux caveaux du village, vous pourrez découvrir les secrets de fabrication de ce vin pétillant rosé de faible degré alcoolique élaboré naturellement selon la méthode ancestrale.
À voir : Vierge du Mont Carmier – chapelle de la Vierge Noire de Préau – Mémorial du Val d’Enfer – Sentier des Maquisards – Cellier d’Epierre (XIIIe siècle) dont les bâtiments sont inscrits dans leur totalité à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
À faire : Randonnées pédestres – Pêche – Caveaux viticoles – Aventure-jeu Fifrelin.
Pratique : Hébergement – Restauration.
Lundi, Mardi, Jeudi et Vendredi : 08h30 – 12h30
Les 1er et 3e samedis du mois : 09h00 – 12h00
MÉRIGNAT
Descriptif
Mérignat
Découvrez le village typique vigneron de Mérignat, entre coteaux couverts de vignes, jardins, vergers et plateaux boisés bordés d’abrupts rocheux.
Mérignat, c’est avant tout un village typique avec ses maisons vigneronnes en pierre, composées d’une grange avec une voûte en anse de panier, d’un escalier conduisant à l’habitation, d’une cave, et pour certaines d’une soue à cochon sous l’escalier.
Prenez le temps de cheminer dans les ruelles du village et de découvrir ses deux maisons bourgeoises avec leurs parcs attenants ou encore son église, de style gothique (XVe siècle), avec son clocher abritant 3 cloches dont la plus petite est l’une des plus anciennes du département (1547).
Vestige d’un château féodal édifié en 1302 par Humbert de Chatard, la tour de Mérignat est comme un emblème qui se dresse sur les hauteurs du village : une fois à ses pieds, ouvrez grands les yeux, un magnifique panorama sur la reculée de Cerdon vous attend.
Pour continuer à être ébloui, suivez les panneaux en direction du belvédère. Que vous grimpiez à travers les coteaux qui dominent la plaine de l’Ain, ou au cœur des prairies vertes et fleuries, vous serez surpris et peut-être même ému par cette nature originelle que les Hommes ont su préserver.
À voir : Eglise de style gothique (XVe siècle) – Belvédères et points de vue.
À faire : Randonnées pédestres – Caveaux viticoles.
Mardi et Vendredi : 09h00 – 16h00
JUJURIEUX
Descriptif
Jujurieux
Ancienne seigneurie devenue cité industrielle au XIXe siècle, le village de Jujurieux et ses châteaux témoigne aujourd’hui encore d’un riche passé industriel et d’une culture viticole imprégnée au cœur de ses hameaux.
Véritable cité industrielle de la soie, la manufacture des Soieries Bonnet a regroupé sur la commune de Jujurieux des ateliers de production et de nombreux bâtiments annexes : économat, chapelle, infirmerie et même un pensionnat pour les jeunes filles.
Autour des Soieries devenues musée en 2001, le long des rues pentues et souvent étroites du centre ville se dressent de nombreuses maisons en pierre de taille à plusieurs étages. Abritant autrefois des métiers à tisser à bras, ces habitations sont représentatives d’une importante activité de tissage à domicile. Elles y côtoient de nombreuses demeures bourgeoises construites durant cette grande épopée industrielle.
Mais Jujurieux, c’est aussi le village des 13 châteaux, à vocation défensive pour les plus anciens, ou construits au cours du XIXe siècle par les dirigeants de l’usine de soierie Bonnet. De l’ancienne chapelle des Soieries Bonnet reconvertie en espace culturel au château de Chenavel d’origine médiévale dominant l’entrée des Gorges de l’Ain, cette cité possède un riche patrimoine architectural.
En empruntant les multiples sentiers balisés conduisant au cœur des hameaux du village, on peut y découvrir de traditionnels fours banaux et maisons d’architecture typiquement vigneronne, ou se balader sur les hauteurs offrant de magnifiques points de vue sur la plaine. Délaissée au cours du XXe siècle, la vigne cultivée pour son fameux “Bugey-Cerdon” AOC fait aujourd’hui partie intégrante du paysage.
À voir : 13 châteaux – Soieries Bonnet – Château de la Tour des Echelles (XIIIe siècle) avec jardins à la française, inscrits à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques – Eglise Saint-Etienne (XIXe siècle) avec décors peints.
À faire : Randonnées pédestres et VTT – Balades en âne – Caveaux viticoles – Chèvrerie – Zanimo’balade de Fifrelin.
Pratique : Hébergement – Restauration – Tous services.
Mardi au Samedi : 08h00 – 11h30
BOYEUX-SAINT-JÉRÔME
Descriptif
Boyeux-Saint-Jérôme
Situé sur l’itinéraire de la Route du Bugey, Boyeux-Saint-Jérôme est le village le plus haut perché du Pays du Cerdon – Vallée de l’Ain. Dans ce groupement de plusieurs hameaux cernés de vignes, les rues et les chemins sont bordés de maisons d’architecture vigneronne accrochées à flanc de colline.
Au fil des ruelles qui traversent Boyeux, on peut voir une ancienne pompe à bras utilisée autrefois par les pompiers et le four banal du village, petite construction de pierre couverte d’un toit de lauzes tirant son nom d’une taxe médiévale, la banalité. Ici, les maisons ont gardé leur cachet ancien : bâti en pierre, escalier conduisant à l’habitation, voûte en pierre signalant l’entrée de la grange, cave et, pour certaines, soue à cochon.
Entouré de vignes, Boyeux-Saint-Jérôme possède les coteaux les plus escarpés du Pays du Cerdon. En poussant la porte de l’un des caveaux du village, vous pourrez y déguster les vins de l’AOC Bugey-Cerdon en compagnie des viticulteurs qui vous ferons découvrir leur savoir-faire viticole.
La visite du hameau de Saint-Jérôme offre également une belle occasion de visiter son église datant du XVIe siècle, de style gothique flamboyant avec sa façade classée Monument Historique, son portail en anse de panier, son porche avec pupitre extérieur et son chœur avec fenêtres gothiques.
A Châtillon de Cornelle, ce sont une chapelle de style gothique (XVe siècle), inscrite à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques, un château (XIIe siècle) et ses vestiges de barbacane et de tourelle qui attireront l’attention des amateurs de patrimoine.
À voir : Château de Cornelle – Chapelle de Châtillon de Cornelle – Église Saint-Jérôme.
À faire : Randonnées pédestres et VTT – Caveaux viticoles.
Pratique : Hébergement
Lundi au Vendredi: 09h00 – 12h00
SAINT-JEAN-LE-VIEUX
Descriptif
Saint-Jean-le-Vieux
Partir à la découverte de Saint-Jean-le-Vieux s’apparente à une promenade à travers les âges. En rejoignant le hameau de Hauterive on pourra y voir son moulin à eau, sa chapelle, ses lavoirs et ses châteaux.
Tirant son nom de son église paroissiale dédiée à Saint Jean-Baptiste, Saint-Jean-le-Vieux possède plusieurs châteaux dont le plus connu, le château de Varey, a pris une part importante dans l’histoire du Bugey.
Porte d’entrée de la gorge de l’Oiselon, cette place forte dominant la plaine de l’Ain fut un site stratégique durant les guerres delphino-savoyardes qui firent rage dans la région. Le château demeure à jamais lié à la sanglante bataille de 1325, l’une des plus célèbres et des plus meurtrières de l’histoire médiévale. En empruntant le sentier longeant le mur d’enceinte, devant le petit oratoire à la Vierge, on y dispose d’un superbe panorama sur la plaine de l’Ain.
Entre le canal et le ruisseau, Hauterive invite à la flânerie avec sa place centrale, sa chapelle du XIIe siècle placée sous le vocable de Saint Hubert, ses deux lavoirs rénovés et son moulin à eau. Non loin de là, se trouve l’allée des trois châteaux, bordée de trois belles demeures privées, et au bout du chemin s’offre au promeneur un point de vue magnifique : à 360°, on y aperçoit les reliefs des contreforts du Jura, Chenavel, Varey et grand nombre de richesses de la région.
Les randonneurs auront le choix entre deux sentiers : l’un conduisant à la rencontre de la « Roche Fendue », faille rocheuse de 100 mètres de long, l’autre amenant à découvrir plusieurs demeures bourgeoises et un paysage d’une exceptionnelle générosité. Les vététistes pourront quant à eux s’aventurer sur plusieurs sentiers spécialement balisés pour eux.
À voir : Château de Varey – Château de Champollon – Chapelle Saint-Hubert – Eglise (XVe siècle) – Moulin.
À faire : Randonnées pédestres – VTT – Pêche.
Pratique : Restauration – Tous services.
Lundi au Samedi : 08h30 – 12h00